Cette nouvelle pub Intermarché raconte l’histoire d’un vieil homme dont la femme est décédée qui se remémore sa vie avec elle, une vie magnifique.
Il vit dans la grande maison dans laquelle il a probablement passé les jours les plus heureux de son existence en compagnie de sa femme et chaque élément rappelle sa présence. C’est alors qu’il met la main sur le vieux livre de recettes de cuisine de sa femme, ce qui lui donne envie de refaire les petits plats que lui mitonnait sa femme comme bien souvent dans notre société.
Pour accomplir les recettes de sa femme pas de soucis à se faire, il y a Intermarché bien sûr. Le personnage essaye ensuite de perfectionner la recette qu’il aimait tant dans le but de pouvoir la réussir comme sa femme. En poursuivant ce but il passe beaucoup de temps à Intermarché pour acheter les ingrédients dont il a besoin, pour finalement arriver à recréer ce moment unique. Au moment où il mange ses pâtes préférées avec sa femme comme avant, tout redevient comme il fut été, magnifique.
Intermarché est toujours là, au centre de la vie comme une présence essentielle à la vie des hommes, un phare dans le brouillard. L’omniprésence du rouge dans cette pub n’est pas sans rappeler le logo rouge d’Intermarché, tout comme les pâtes à la sauce tomate, sacré hasard. Cette pub véhicule beaucoup de valeurs positives telles que l’amour, la cohésion, le partage. Elle complète bien la pub précédente de la marque et montre la volonté d'Intermarché d’humaniser leur structure avec des messages vivants et identifiables pour mettre de l’humain dans les grandes surfaces alors que ce concept est diamétralement à l’opposé de l’idée que l’on se fait de ce genre d’endroit. Les énormes supermarchés comme Intermarché sont des structures froides et déshumanisées. C’est à la force de dizaine d’années de matraquage publicitaire que nous, les hommes, avons oublié que la vie est ailleurs. Alors pour ramener de la vie dans ces endroits, on fait de la pub car sans ça il n’y a plus rien.
Un jour peut être les hommes reprendront possession de leur vie, en attendant ils font la queue au drive du Mc Do.
Florian Schulte
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